Café, thé, chocolat, bananes... De nombreux produits de consommation courante sont importés des pays du Sud. L’organisation des échanges mondiaux (cours fluctuants, pression des intermédiaires...) pénalise les petits producteurs et les travailleurs qui les cultivent, et leur permet à peine de survivre.
Pourtant, un geste simple peut contribuer à ce qu’ils soient rémunérés décemment pour leur travail : choisir des produits portant le label Max Havelaar.